Catégories : REEL FESSESTIVITES
il y a 5 ans
Cela faisait maintenant quelques semaines que ma compagne m’avait prévenu :
- « tu es prévenu, dans le courant du mois de septembre, tu seras ma chose, ma Sylvie pendant minimum 11 jours ! »
Cette promesse résonne dans ma tête, mais je tâchais de ne pas trop y prêter attention. J’ai énormément de travail, je passe toutes mes journées derrière mon ordinateur et je n’ai donc pas le temps de penser à ce que ma domina me prépare.
Jour 1 :
Le jour J est arrivé sans que je ne m’y attende. J’ai présenté ce travail qui avait mis plusieurs semaines à se finaliser. La présentation a été particulièrement ardue, j’ai dû batailler pour faire comprendre mes idées et concepts si difficiles à intégrer. Je rentre donc chez moi, exténué, satisfait d’avoir obtenu gain de cause mais complètement retourné de cette journée riche en émotion. Et pourtant, cette journée ne faisait que commencer.
Il est 19h20 :
-
« Va mettre ta cage, SYL VIE ! » Elle décroche chaque syllabe pour me faire directement comprendre qu’elle était le chef à partir de ce moment.
-
« T’es sérieuse ? Maintenant ? Aujourd’hui ? » Lui demandais-je stupéfait, je ne m’attendais absolument pas ça. Surtout au vu de la journée que j’ai passée.
-
« T’es ? A partir de maintenant et jusqu’à nouvel ordre, se sera Madame et vous ! On va refaire ton éducation Sylvie ! La prochaine fois, tu gagneras un jour dans ta prison de métal supplémentaire ! Maintenant tu vas mettre ta cage et tu reviens quand le cadenas est posé. »
-
« D’accord madame. »
C’est donc plein de questions et d’idées que je me suis dirigé vers ma chambre. Je sors ma cage en métal noir « the snake » de sa boîte, mon sexe se met à durcir au premier contact du métal froid sur mes bourses. Une fois l’anneau placé derrière mon scrotum, j’attends quelques minutes afin de faire dégonfler mon sexe. Le tube passé, je mets le cadenas dans le petit interstice qui allait sceller mon sexe pendant une durée de minimums 11 jours.
Je suis ensuite remonté avec le cadenas toujours ouvert et la clé déjà insérée pour me présenter devant madame qui, symboliquement, ferme le cadenas, retire la clé et m’ordonne de lui servir un verre d’alcool pour célébrer ma mise à sa disposition.
- « Sylvie, je vais maintenant t’énoncer les règles de notre nouveau mode de vie, tu sais que j’ai prévu une durée limite de 11 jours, sache que, connaissant tes oublis, il y a de forte chance que tu passes plusieurs jours supplémentaires dans ton équipement de fortune. De plus, à partir d’aujourd’hui, tu es ma chose, ma chienne, ma Sylvie.
Les règles sont les suivantes :
Tu devras parler de toi au féminin
Tu devras tout faire pour assouvir mes besoins, mes envies. Si je me sens frustrée, tu seras punie.
Ton corps m’appartient, je fais de toi ce que je veux, quand je le veux.
Je répondrai au nom de madame et tu devras me vouvoyer, tout manquement laissera ton oiseau dans sa cage.
Ai-je été claire ? »
- « Oui Madame, très clair. »
Quand ma compagne se laisse aller dans son rôle de domina, elle peut être très perverse. Nos jeux de chasteté n’ont, à ce jour, pas dépassé les 5-6 jours. Et pourtant, suite à une petite erreur de ma part lors de notre précédent jeu, elle m’avait regardé droit dans les yeux, de son regard de braise en m’annonçant que je ne gagnais pas une journée de chasteté supplémentaire, mais une semaine complète ! Elle avait dû annuler la cage la dernière fois pour raisons personnelles. Voici comment je me suis retrouvé avec un enfermement de 11 jours sans préavis !
La soirée suivant son cours, je prends soin au mieux de madame. Sans quoi, les punitions vont pleuvoir. Avec un peu de chance, je ne recevrais que des fessées, mais elle peut très bien rajouter des heures voire des jours de chastetés et je n’y tiens pas trop.
Rien de spécial s’est passé d’autres de la soirée jusqu’au moment d’aller se laver. Pour un premier jour, madame est d’humeur généreuse. Pour commencer, elle m’a autorisé à prendre ma douche en sa compagnie, même si l’un de ses buts était de m’allumer pour voir mon engin se tortiller dans ses barreaux.
-
« Tiens ! Je dois pisser ! » Elle sait l’effet que ses fluides dorés ont sur moi, elle aime en jouer en me faisant croire que j’aurais droit à une douche dorée, pour finir par se libérer devant moi en me regardant déçu de ne pas avoir eu droit de profiter de son nectar.
-
« Accroupi Sylvie, ouvre la bouche ça arrive ! » Aussitôt dit, aussitôt fait. En l’espace d’une seconde je me retrouve accroupie, bouche grande ouverte sous son entrejambe ruisselant d’eau par la douche. Soudain, un jet d’une puissance moyenne arrive dans ma bouche, le liquide doré est plus chaud que l’eau qui coule de la douche. Son urine a une odeur et un goût salés et acre assez fort. Son jet continu pendant une dizaine de secondes puis finit par se tarir. Mon membre tente de se développer sans succès. Une absence de succès qu’il allait connaitre pendant quelques jours encore. Après avoir recraché son champagne (madame ne veut pas que je l’avale) nous continuons notre douche comme si de rien n’était et ce, jusqu’à la fin de la soirée.
Jour 2 :
Je suis seul à la maison, madame est partie travailler. Avant de partir elle m’a donné les directives pour la matinée :
- « 30 minutes avant que je rentre, tu mets le petit plug. Quand je rentrerai tu mettras le plug tunnel. On va commencer à élargir ton petit trou. Bonne journée Sylvie ».
En lisant son petit mot, mon sexe tente de se tendre. Les barreaux métalliques me rappellent ma situation. L’anneau entourant mon scrotum tire sur mes testicules jusqu’à m’en créer une douleur dans le bas-ventre. Une petite douleur, mais suffisante pour me rappeler, encore plus, ma situation. Je suis la chienne, la servante, la Sylvie de ma maitresse. Quand nous parlions de tout ceci ensemble, en l’absence de jeu, ma dominatrice était toujours timide. Elle n’osait pas en parler, elle a toujours eu du mal à verbaliser. Dans nos jeux c’est différent, elle a des moments d’hésitation et d’autres où elle est sûre d’elle et il vaut mieux que je marche au pas.
La matinée se passe. Madame ne va pas tarder à rentrer et mon premier plug a déjà trouvé foyer dans ma grotte.
Trente minutes plus tard, je retire le premier plug pour le remplacer par le deuxième, plus gros, ouvert au milieu pour permettre un lavement. Après l’avoir installé, sans trop de difficulté, dans mon antre, je pris une couche et me l’enfile, je ne veux pas avoir de mauvaise surprise dans mes sous-vêtements.
La porte s’ouvre et la plus belle des femmes fit son apparition. Mon cœur s’emballe, mon sexe se dresse dans les limites qui lui sont imposés.
-
« Bonjour madame, vous avez passé une bonne journée ? »
-
« Oui, ça fait du bien de rentrer, montre-moi ton cul ! »
Je lui montre alors mon derrière investi par le plug qu’elle m’avait recommandé.
-
« Tu portes une couche ? pour le plug tunnel ? ok parfait ! Tu vas la garder maintenant. Et aussi, à partir de maintenant, tout ce que tu veux faire devra d’abord être demandé c’est compris ? »
-
« Oui madame. »
Nous avons ensuite mangé tranquillement, elle me raconte sa matinée et nous parlons de tous et de rien.
Ayant un rendez-vous pour 16h, nous commençons à nous préparer 30 minutes plus tôt.
-
« Madame, puis-je aller faire pipi avant de partir ? »
-
« Non, tu as toujours ta couche, si tu dois faire pipi tu sais ce qu’il te reste à faire
-
« Mais madame, nous avons rendez-vous chez… »
Je n’ai même pas eu le temps de répondre qu’elle me regarda avec un regard sérieux et joueur en même temps.
-
« Tu discutes ? tu veux qu’on rajoute quelques jours à ta chasteté ? Sache déjà que tu en as deux de plus pour ne pas avoir jeté les deux mouchoirs de ta table de nuit !
-
« Mais madame… D’accord pardon. »
-
« Je préfère ça, en route maintenant. »
Pendant que je roule, madame en profite pour venir caresser ma cage et mon bas-ventre, elle sait que je dois uriner et qu’en m’allumant, je vais avoir encore plus de mal. Nous sommes arrivés et il me faut bien une dizaine de minutes pour réussir à me détendre et à me relâcher dans ma couche. Ça n’a vraiment pas été facile d’autant plus que ma déesse s’amusait à jouer de ses charmes pour me stopper net dans l’action.
Notre journée terminée, nous allons nous coucher. En enlaçant madame, celle-ci me dirige tous doucement vers son intimité. Je commence par lui caresser sa superbe poitrine. Roulant et déroulant ses tétons d’entre mes doigts. J’entreprends alors de la couvrir de caresses et de baisers jusqu’à finalement me retrouver à son entrejambe protéger par sa main gauche. Les effluves de son coin d’amour me parcourent les narines, provoquant un frisson et une tentative infructueuse d’érection. Je reprends mes baisers tous le long de sa jambe, en prenant le temps de parcourir toutes les parcelles de peau de l’intérieur de sa jambe jusqu’à son pied. Je remonte alors prêt du visage de ma maitresse pour embrasser son cou avec tendresse et désir. Au bout de quelques minutes, elle libère l’accès à son intimité. Je commence alors à parcourir son jardin d’Eden pour finalement élire domicile sur l’interrupteur de ma gynarchiste. J’avale, je lèche, je mordille, je suce, je tire sur ce bouton pour donner le plus de plaisir. Madame se tortille de plaisir, retire ma tête pour l’y enfoncer à nouveau. Mes mains parcourent sa poitrine, pinçant légèrement ses tétons. Je descends alors ma main gauche pour venir titiller sa grotte secrète du bout du doigt. Je sais que madame aime particulièrement quand je lui titille l’entrée de son anus tout en lui pinçant un téton. Voulant lui faire plaisir, je tente alors de lui jouer son meilleur couplet. Je mange, lèche, tire, pousse de partout jusqu’à ressentir les cuisses de ma dominatrice se refermer sur ma tête, ses gémissements restants audible malgré tout. Le cadre du lit bouge tant son orgasme est puissant. Une fois calmée, elle me regarde en me disant :
- « Merci, c’est tout pour aujourd’hui, tu remets ma culotte ! »
Après m’être exécutée, elle m’embrassa sur le front puis se retourne pour s’endormir quelques minutes plus tard. Elle me laisse là, les testicules tirés par l’anneau, mon sexe poussant sur cette cage, une frustration énorme au ventre. Et je ne suis qu’à deux jours…
Jour 3 :
- « Prend le god noir, tu l’enfonces à fond et tu joues un peu, je veux des preuves ! »
Je me réveille avec ce mot doux sur mon téléphone. Les suivants sont moins plaisants.
- « Ça va ? / Pas de réponse, tu viens de gagner 8 fessées à mon retour ! »
Un frisson parcourt mon fessier. Il faut dire que madame a toutes sortes d’idées pour la fessée : la traditionnelle main, le fouet, une planche à pain, une cuillère à soupe, une cuillère en bois, une latte, etc.
Après un brin de toilette, je place le god noir sur un tabouret. J’apprécie tout particulièrement ce god noir. Personnellement, je l’appelle le sexe de madame car s’est celui qu’elle enfile lorsqu’elle revêt son god ceinture. Il fait 21 cm, démarre à 2,8 cm de diamètre pour finir par 4,2 lorsque le pubis de madame vient buter contre mes fesses. J’adore le claquement que l’on entend lorsque nos corps rentrent en contact. La sensation interne est encore plus agréable, une légère pointe mélangeant le plaisir et quelque chose de légèrement désagréable se transformant au fur et à mesure en un plaisir qu’il est très difficile de gérer. Généralement, quand madame me fait cadeau de revêtir son phallus, au bout de 5 minutes je me transforme en loque, absorbé par les sensations et incapable retenir mes gémissements tant mon plaisir est intense.
Parenthèse faite, je place donc le god sur le tabouret, j’enduis ce pénis artificiel de lubrifiant ainsi que ma rondelle. Après avoir placé mon téléphone pour pouvoir prouver mes actions à ma domina, je commence tous doucement à coulisser sur ce jouet pointant vers le ciel. Je commence alors de petit va-et-vient, jusqu’à arriver à la base de l’engin. Je reste quelques instants à pénétration max, puis je le fais ressortir entièrement. Je réitère ce geste trois fois pour finir par me faire coulisser de plus en plus vite. Remontant jusqu’à la limite et redescendant jusqu’au plus bas. Après 5 minutes de ce traitement, j’arrête l’agréable mission à contre cœur. Madame m’a dit de prendre un peu de plaisir, je ne veux pas qu’elle pense que je profite en son absence.
Le reste de la journée se passe et madame rentre vers 16h. Je l’accueille avec un plug rose dans le derrière. Ce plug contient deux parties, une avec un chapelet de boule de 15 cm de long et l’autre avec un plug. Le plug étant dans mon fondement, on peut voir une sorte de queue sortir de mon derrière. Je suis placé à quatre pattes sur le lit. A côté de moi sont déposés une planche à pain et une latte.
- « J’aime ce genre d’attention, c’est très bien Sylvie. »
Et VLAAAAAM, première fessée avec la latte, 2-3-4 et la cinquième tombe. Elle dépose alors la latte et PAFFF, un coup de planche à pain, bien plus fort et plus douloureux que la latte. Les deux derniers coups s’abattent sur mes fesses l’une à la suite de l’autre sur la même fesse.
- « Ramène-toi je dois pisser ».
Deux douches dorées en 3 jours, je sens qu’elle apprécie de plus en plus et qu’elle hésite de moins en moins. Je souris bêtement, ouvre la bouche, et laisser couler ce jet de 37° qui ruisselle sur mon corps.
- « Lave toi et monte ! »
Une fois en haut, elle me demande de lui servir un verre d’alcool, elle aime boire un petit verre après le travail pour se détendre. J’ai toujours ce plug dans mon derrière qui me fait comme une queue. Après un moment, elle me demande d’aller le remplacer par plus gros. Et idem 50 minutes plus tard. Je me retrouve alors avec un plug tunnel de 3,8 cm de diamètre logé dans l’anus. Pour le maintenir en place, j’ai été obligé de me faire une ceinture en corde. J’ai d’ailleurs dû faire quelques squats sous l’œil aiguisé de ma maitresse pour voir si la ceinture était bien faite et que le plug ne pouvait pas se déloger.
J’écope d’un jour de chasteté supplémentaire pour avoir demandé à madame si elle voulait bien me faire l’honneur de me prendre avec son pénis. Enfin, un jour par ce que j’ai demandé une deuxième fois après qu’elle me le refuse.
Jour 4
- « Je t’ai laissé un cadeau derrière la porte ! Bonne douche »
Je me lève et vais voir ce qu’il y a derrière la porte. Madame devient de plus en plus sadique, mon sexe fait un bon vers l’avant. Je saisis le récipient, l’approche de mon nez pour vérifier l’identité du breuvage contenue dans ce récipient. Une odeur âcre inonde mes sinus. Madame m’a fait cadeau de son urine pour me doucher avec. J’en reviens pas, d’habitude, elle m’offre son nectar directement de la source. Je suis tiraillé entre le fait de savoir s’il s’agit d’une délicate attention ou juste que maintenant, ce sera comme ça et plus directement de sa fontaine de jouvence.
Je vais donc prendre ma douche, je fais couler l’eau chaude sur ma tête, mouille entièrement mon corps avant de me saisir du jus d’amour de ma patronne. Son jus coule sur mon visage puis sur le reste de mon corps, mon sexe tente une érection encore infructueuse.
Je termine de me laver et me prépare tout doucement pour le travail quand je sens mon téléphone vibrer.
-
« J’ai envie de jouer, un chiffre entre 1 et 5. »
-
« 2. » lui répondais-je avec angoisse et excitation.
-
« Tu prends fruitella et tu te l’enfonces. Je veux des preuves. Ensuite tu prends la manne, tu réunis les vêtements et tu déposes l’ensemble dans la salle de bain devant la machine. Pas besoin de préciser que ta grotte doit rester pleine pendant ce temps-là.
Mon cœur bat à 200 battements par minute, ma cage ressort présentant une bosse à mon pantalon. Le diamètre de fruitella avoisine les 5 cm de diamètre, c’est notre joujou le plus large, mon fondement n’a pas l’habitude de ce genre de calibre.
- « Bien madame, je m’exécute. »
J’enduis l’engin et ma rondelle de lubrifiant, je m’allonge sur le dos pour débuter cette périlleuse pénétration. Je place la pointe face à ma rondelle, l’enfonce doucement. La pénétration est lente mais pas douloureuse, je sens mon anus qui se dilate progressivement. Au bout de 4 cm, fruitella est à son diamètre max. Je me relève, place l’objet du désir à la verticale et je viens me place au-dessus. Je commence à me faire coulisser dessus. J’accélère le rythme, de plus en plus vite, de plus en plus loin jusqu’à sentir la garde de mon ami du moment contre mes fesses. Je prends la preuve demandée par ma domina, je place une ceinture sous le jouet pour qu’il puisse rester figé dans mon antre pendant que j’exécute les tâches ménagères demandées. Je prends encore quelques preuves tout en profitant de cette sensation tellement agréable que l’on ressent lorsque nous sommes pleins de l’intérieur. Cette sensation de plénitude, le moindre mouvement rappel ce corps étranger dans nos entrailles, le moindre mouvement du bassin exerce une pression contre l’objet qui exerce lui-même une pression sur une partie interne à notre anatomie. Je parle de cette sensation qui peut potentiellement nous faire perdre pied à tous moments sans toucher à son sexe.
Je remercie madame, lui envoie ses preuves et part travailler.
Le soir, madame a cuisiné un bon petit plat après lequel elle a fait ma fête. Elle m’a emmené dans la chambre et m’a demandé de me mettre à quatre pattes sur le lit. Je l’ai entendu prendre le god ceinture et s’équiper.
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« Met le préservatif sur mon sexe. J’ai envie de te prendre aujourd’hui, mais je vais pas te ménager, tu as été sage aujourd’hui Sylvie, une bonne petite chienne qui va se faire défoncer la chatte bien comme il faut.
-
« Merci madame, je vous attends depuis si longtemps. » Je sens mon anus qui se contracte et décontracte sous la tension que ma maitresse vient de mettre. Après avoir mis le préservatif, je reprends ma position en relevant mon cul en bonne chienne bien docile.
J’entends le lubrifiant qui se dépose sur ma raie, suivi par la pointe d’une lance noire de 22 cm. Elle rentre progressivement mais sans ménagement d’un coup dans mon corps. La pénétration a dû prendre entre 5et 7 secondes pour venir toucher mes fesses avec ses délicieuses hanches. Je me sens rempli, à la merci d’un démon en pleine ascension. Madame n’est pas toujours sur d’elle, mais je peux vous garantir que ce soir, elle savait ce qu’elle faisait et ce qu’elle voulait, me prendre rapidement, sauvagement et en profondeur.
Elle ressort de mon corps, rajoute du lubrifiant pour finir par rentrer à nouveau entièrement en moi. Elle entame un va-et-vient sous un rythme soutenu, ses hanches frappent mes fesses qui, au contact, émettent un claquement. Un second claquement se fait entendre lorsqu’elle me frappe les fesses de ses deux mains provoquant ainsi une double tentative. La première sur mon sexe qui tente de sortir de par partout de ma cage et la seconde sur ma rondelle qui tenta de se refermer sur les 4,2 cm de diamètre de ma gynarchiste adorée. Elle commence à me limer en profondeur en tapant de plus en plus fort contre mes fesses, elle en profite pour me les écartés le plus possible afin de bien voir la pénétration qu’elle me procure ainsi que pour gagner en profondeur.
J’ai la tête enfouie dans les oreillers, je geins, gémis, je râle mon plaisir. Je commence à me sentir ailleurs, dans un océan de sensation, d’excitations mais également de bestialité et de sauvagerie.
Et soudain, tout s’arrête. Madame s’écarte de moi, éloignant de plus en plus son pénis turgescent de ma chatte humide.
-
« Finit, rhabille toi Sylvie. »
-
« Déjà ? Madame s’il vous plait, prenez-moi encore un peu ».
-
« Non et commence pas, je m’étais fixé trois minutes ! Prochaine fois dans…... je sais pas quand ! » Me lance-t-elle avec un grand sourire.
-
« Même avec purple ? »
-
« Bon allez, je veux te mettre plus gros, mais par contre je l’enfile pas, tu restes en position et je te prends à la main. »
-
« Merci madame, merci beaucoup. »
Elle sort alors purple, me montre ses 15 cm de longueur et ses 4,5 cm de diamètre en me souriant.
J’entends le tube de lubrifiant offrir son contenu pour le répandre sur mon futur inquisiteur.
La pointe turgescente du sexe mauve de ma domina rentre enfin en contact avec ma rondelle. Ma grotte s’ouvre rapidement pour enfin accepter ma maitresse en moi. Son sexe exécute quelques petits va-et-vient pour rendre ce moment plus agréable. Enfin un frisson me parcourt quand je sens qu’elle enfonce le god jusqu’à la garde. Je ressens un sentiment de plénitude. Mon corps est rempli de l’intérieur, des frissons me traversent de part en part, de mes pieds jusqu’au sommet de mon crâne. Je perds de plus en plus pied, ma maitresse s’amuse à torturer mes entrailles. Tantôt elle le rentre et le ressort rapidement, tantôt elle le fait tourner pour venir titiller ma prostate avec la courbure de son sexe de fortune, tantôt elle l’enfonce bien au fond tout en exécutant des petites insistances. Je me noie dans une multitude de sensations, d’émotion. Je gémis, je geins, mes yeux sont en roue libre tellement les sensations sont exquises.
Ma maitresse me besogne pendant environ 5 minutes quand elle décide de s’arrêter là. Elle me laisse nu, sur le ventre, les fesses relevées et l’anus béant.
- « Terminé Sylvie, la suite demain, enfin, peut-être ! » Me lança-t-elle avec son sourire narquois.
Jour 5
Madame est en congé aujourd’hui, pour mon plus grand bonheur mais également malheur.
Je m’occupe de la maison, de la servir lorsqu’elle a besoin de quelque chose, je fais au mieux pour qu’elle se sente bien et que tout soit parfait.
- « Tu es très serviable aujourd’hui Sylvie, je t’en remercie. Tu mérites une petite récompense, va chercher fruitella et du lubrifiant. »
J’exécute alors son ordre en lui tendant le tout.
- « Et un petit verre aussi, je veux profiter du spectacle pendant toouuuuuuuuuuut mon verre. » Me dit-elle en s’installant confortablement dans le fauteuil.
Je commence alors à lubrifier ma rondelle et le jouet et j’entame une dilatation lente mais sans interruption. J’enfonce 1, 2, 3, 4 cm, j’attends quelques secondes que ma grotte s’adapte un peu. Les autres cm s’enfoncent rapidement jusqu’à mettre le joujou entièrement en moi. J’entame alors un va-et-vient sous le regard flamboyant de ma dominatrix. Je lui propose alors une idée et quitte la pièce un instant. Lorsque je reviens, je me présente à elle avec une sorte de corde passant par mes épaules et redescendant jusqu’entre mes jambes. J’écarte don celle-ci pour montrer à madame que j’ai enfoncé fruitella jusqu’à la garde pour l’accrocher ensuite dans le but de le maintenir bien au fond de mes entrailles. Elle apprécie le geste et me demande alors d’exécuter des squats devant elle en ressortant bien mon postérieur. Je sens mon sexe tendu pour ce qu’il peut l’être, mes testicules sont tirés vers l’avant et me provoquent des douleurs dans le bas-ventre. Cette sensation est exquise, je me sens totalement offerte à ma maitresse. Je commence tous doucement à me sentir plus docile, plus chienne et plus « femme ». J’aime sentir le pouvoir que ma compagne peut avoir sur moi lorsque nous jouons. Elle se sent de mieux en mieux lorsqu’elle me domine et elle me le fait ressentir par ses actions.
Son verre terminé, elle me demande de venir à quatre pattes devant elle pour retirer l’énorme jouet logé dans ma grotte dans le seul but la voir grande ouverte.
- « Va chercher la boîte de pince à linge dans la salle de bain. »
Mon sang se glace, que va-t-elle faire avec les pinces à linges, un frisson me parcours le dos. Un mauvais coup se prépare.
- « Couche toi sur le dos et écarte les jambes. Sélectionne toutes les pinces à linges en bois ! »
Je m’exécute et commence à mettre les pinces en bois sur mon ventre pendant que madame vient se placer entre mes jambes.
Elle saisit une pince et me la dépose sur ma bourse gauche. Etrangement, je ne ressens pas particulièrement de douleur. Elle en place alors une deuxième, puis une troisième, elle enchaine les pinces et mon testicule commence à être pincé de partout. Elle s’occupe ensuite de mon testicule droit, la douleur commence à monter. Ma domina ne faiblit pas et continue à enchainer les poses.
Arrivée à 15 environ, elle observe mes testicules qui commencent à ressembler à un hérisson. Et soudain, une douleur lancinante jumelée à un plaisir encore inconnu se fait ressentir. Elle s’amuse à caresser les pinces qui, à l’autre extrémité, me morde la peau avec férocité. J’hurle dans un coussin mon désespoir mélangé à ce plaisir inconnu.
-
« On reprend, il y a encore de la place Sylvie, tu tiens le coup ça va ? »
-
« Oui madame, je suis là pour vous servir et vous faire plaisir. »
-
« Très bien, de toute façon j’avais pas l’intention d’arrêter ! »
Les pinces s’accrochent à nouveau, certaines mordent plus fort que d’autres. Ce qui fait le plus mal s’est quand madame touche les autres pinces déjà en place. Cette sensation est vraiment particulière, je n’avais encore jamais éprouvé cela auparavant. Mon esprit commence à s’embuer, cette douleur se mélange à un plaisir indescriptible.
Il n’y a plus de place sur mes testicules qui ressemblent vraiment à un petit hérisson toutes pics sortis. Madame retire son pantalon et son string, m’enjambe le visage et vient poser son nid d’amours sur mon visage. Pendant que je lui prodigue un cunnilingus, celle -ci s’amuse à passer ses mains sur les pinces bien en place, à me triturer les tétons en les tirants et en les pinçant avec fermeté. Je me perds complètement dans cet univers de sensations, douleurs, odeur, humidité. Je comprends alors que mon supplice se terminera lorsque j’aurais fait jouir ma geôlière. Je m’active ardemment sur son bouton d’amour pour lui faire atteindre l’orgasme le plus rapidement possible. Soudain, elle s’enfonce sur mon nez tout en criant son plaisir. Son orgasme terminé, elle se retire de ma bouche pour revenir entre mes jambes en me regardant d’un air sadique. Une par une, elle retire les pinces à linges, au total ce n’est pas moins d’une petite trentaine de pinces en bois qui retourne dans leur petite boîte, laissant une petite marque pour chacune d’elles sur ma peau pour le restant de la journée.
Le reste de la journée s’est passé sans attention particulière à mon égard, pour ma plus grande tristesse. J’ai continué à servir celle qui fait battre mon cœur pour la rendre le plus heureuse possible.
Jour 6
-
« Aujourd’hui, s’est congé, je ne ferai pas attention à toi. En revanche, tu vas porter une couche toute la journée sans détour à la toilette petite pisseuse. On verra ce soir si tu auras été sage »
-
« D’accord madame. »
Ma journée commence mal, j’arrive à la semaine de chasteté, c’est la plus longue période pour moi et je ressens vraiment le manque de plaisir. J’ai envie de me faire prendre par ma maitresse, de me faire pincer, fessé. Mais ma maitresse ne veut pas faire attention à moi et je préfère ne pas la contredire. Si je devais le faire, je suis sûre que je m’en mordrais les lèvres amèrement.
Une fois le soir madame me lance :
- « Va préparer mes pénis, tu as été sage aujourd’hui, ce soir, je m’occupe de toi ».
Il n’en fallait pas plus pour tendre mon sexe dans la limite de ses barreaux imposés.
Je prépare alors les deux gods ceintures de ma maitresse, je prends également l’initiative de mettre la laisse autour de mon cou et de mettre une petite musique d’ambiance avec une bougie pour seule lumière.
Je m’agenouille devant la porte, tenant le sexe de ma domina.
Elle entre en peignoir tout en me souriant pour les différentes attentions que j’ai portées sur l’ambiance. Elle me présente sa jambe. Je passe la première sangle. Elle lève la seconde. Je fais glisser la ceinture jusqu’à son pubis, son sexe commence à s’ériger devant elle. Je la contemple d’en bas, mes yeux sont illuminés par cette beauté. Sa chevelure retombe sur ses magnifiques épaules, la couleur blanche de sa peau révèle une peau satinée et lisse, son bassin équipé de son pénis inéluctablement dressé. Cette femme est la juxtaposition de la beauté, de l’irrésistibilité, de l’envie, de la pureté et de la passion. La femme parfaite. Un frisson traverse mon rachis du crâne à mes hanches.
Je me redresse et commence à embrasser le pénis qu’elle a revêtu. Elle pose sa main sur mes cheveux et m’intime de continuer ce que j’entreprends. Je la prends dans ma bouche, la suçant et l’embrassant. Elle conclut se maman en faisant claquer son pénis contre ma joue.
- « Tu vas couler ce soir, mets ton boxer troué et met toi à quatre pattes ! »
Ses mains caressent mes fesses, elle place son gland contre mon entrée. Elle s’enfonce rapidement en moi à fond. Il ne lui a fallu pas plus de 2 secondes pour combler mon intimité.
- « Waouh, et bien, tu es ouverte ma Sylvie, on va bien s’amuser alors ! »
Après ces mots, elle entame un court va-et-vient. Court mais puissant, elle reste constamment en moi faisant juste ressortir 10 cm pour venir buter contre mes fesses de plus en plus fort. Je m’abandonne complètement à elle, mes bras sont écartés, ma tête est enfouie dans mes coussins et je ne pense qu’à une chose, laisser ce plaisir m’envahir le corps et l’esprit.
Elle me besogne pendant facilement 10 minutes, elle m’a pris de plusieurs façons différentes : en écartant mes fesses pour aller plus en profondeur, en me tenant avec la laisse pour me faire venir puissamment contre son pubis, en ressortant et en rentrant très rapidement jusqu’au plus profond de moi.
- « Aller, on va mettre plus gros maintenant. »
Elle se change et s’équipe de purple. Elle écarte mes fesses avant de pointer son nouveau sexe sur mon anneau.
- « en tout cas tu es bien ouverte ! »
Et là, elle s’enfonce doucement mais sans discontinuer jusqu’à ce que nos corps se touchent.
Je me sens encore plus combler qu’avant. Son sexe touche toutes les parois de mon anus, je découvre un plaisir anal encore inconnu jusqu’à présent. Je me sens heureuse, fière et totalement dévouée à ma maitresse. Je m’abandonne complètement et la laisse me besogner comme elle le désire, parfois avec tendresse, souvent avec férocité et vivacité. Le temps s’écoule sans que je ne m’en rende compte et je sens une sensation jamais atteinte sous cage de chasteté.
Soudain, madame se ressort et se couche sur le dos.
- « Grimpe-moi dessus encore un peu, je suis fatiguée, après ça on arrête. »
J’enjambe donc ma maitresse et me laisse coulisser sur son chibre. Je m’active et m’active quand soudain, je sens mon plaisir grandir et m’envahir.
-
« Madame, je vais jouir, je vais jouir pour la première fois par-derrière ! »
-
« Ce serait une première Sylvie, me répond-elle en me souriant »
Et là, mon corps est pris de spasme, mon sexe de convulsion en étant enfermé dans sa cage. Mon sperme jaillit dans mon boxer troué, je rentre en transe et continue à coulisser tout en coulant dans mon sous-vêtement.
Je sors le sexe toujours dressé de ma domina et m’écroule sur le lit, épuisé et heureux d’avoir pu connaître pour la première fois cette forme de jouissance.
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« Bien, tu as joui pour la première fois par-derrière sans jamais toucher à ton sexe encagé. En revanche, tu devais rester chaste pendant encore plusieurs jours. Ta punition sera donc la suivante : Dans le monde des keyholders, il y a trois périodes spécifiques où l’on garde nos soumis chastes. L’une d’elles se déroule au mois d’octobre. »
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« Donc je devrais à nouveau être chaste en octobre, quand exactement ? »
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« Non, tu n’as pas compris, le mois d’octobre est la période chaste. Tu vas connaitre ton premier mois de chasteté et sache déjà que certains jours, je ne m’occuperai absolument pas de toi. Fin de la chasteté, pour l’instant.
Nous avons ensuite discuté de la semaine que nous avions vécue. Ce qui nous avaient particulièrement plu et un peu moins, nos attentes à venir etc.
J’ai quelques appréhensions concernant le mois d’octobre, je n’aurais encore jamais été chaste aussi longtemps. Ma compagne n’aura jamais joué la dominatrice aussi longtemps. Mais je suis également très excité de vivre cette expérience.
A bientôt pour de nouvelles aventures
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